Albon veut un pilotage naturel et instinctif
Ce n’est pas le cas au niveau des procédures
Alex Albon va disputer sa première course de Formule 1, moins d’un mois après avoir pris le volant d’une monoplace de F1 pour la première fois. C’est devenu rare puisque les pilotes ont souvent un entraînement avec des séances d’essais libres ou d’essais privés.
Mais le Thaïlandais n’avait pas encore pris le volant d’une F1 avant le shakedown de Toro Rosso, et il admet qu’il a encore beaucoup à apprendre. S’il a rapidement pris la main en termes de pilotage, ce sont surtout les procédures qui mettent davantage de temps à être apprises et à être initiées par le pilote.
"Je progresse rapidement" assure Albon. "Maintenant, je dois utiliser tous les outils à ma disposition. Il y a beaucoup à gagner en termes de gestion des pneus et en appuyant sur les bons boutons au bon moment. Les choses doivent devenir naturelles et instinctives, ce qui n’est pas encore le cas."
"Mon ingénieur doit encore me suggérer des choses, mais je me sens de mieux en mieux. J’ai aussi besoin de confiance dans les virages rapides, et je dois trouver le bon compromis entre attaquer et ne pas attaquer. La gestion d’une course requiert de l’entraînement. Melbourne sera une répétition à taille réelle."
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