Albon explique l’aspect ’le plus difficile’ du circuit de Bakou
Le pilote Williams F1 fait aussi une révélation sur Sainz
Alex Albon est satisfait du niveau de Williams F1 et espère continuer sur une bonne lancée à Bakou après avoir terminé neuvième à Monza. Il note toutefois qu’il aurait dû terminer derrière la Haas de Kevin Magnussen sans pénalité pour ce dernier, et sait qu’il sera difficile de faire aussi bien en Azerbaïdjan.
"On a une dynamique positive. Sur le plan du rythme pur, Monza était un week-end réussi même si l’on manquait de rythme par rapport à la Haas. Mais c’était un week-end où l’on savait qu’on serait rapides. Donc ici, les points sont possibles mais la course sera difficile et on devra l’exécuter parfaitement" indique Albon.
"Le plus difficile sur ce circuit est que pratiquement tous les virages sont à 90 degrés ou presque, en troisième vitesse. Mais ils sont tous légèrement différents en termes de techniques, et il faut les aborder différemment car on peut faire des petites choses."
"On doit juste faire en sorte, car ils sont aussi similaires, de bien gérer les réglages, car les détails font la différence dans ces virages. Mais c’est difficile de réussir à tout faire parfaitement."
Le Thaïlandais explique ne pas encore avoir discuté avec son futur équipier Carlos Sainz, mais raconte une anecdote amusante sur le fait qu’ils devraient bientôt en avoir l’occasion : "On est voisins, nos portes sont en face l’une de l’autre ! Donc on espère bien s’entendre l’an prochain !"
"Mais je vis de mon côté, lui du sien, on est à Monaco à différents moments. Je crois que je l’ai croisé dans l’ascenseur deux fois. Il est silencieux et gentil. Son appartement est plus grand que le mien, mais ce n’est pas grave. Et on a aussi Jamie Chadwick pas loin, une communauté de pilotes Williams !"
Albon aurait aimé voir Adrian Newey le rejoindre chez Williams, mais il comprend le choix de l’ingénieur : "Je n’étais pas très impliqué dans les discussions. Mais bien sûr. Adrian aurait été un grand atout. Il a choisi Aston. Je pense qu’il sera intéressant de voir ce qu’il peut faire avec l’équipe."
"Évidemment, je sais ce que c’est que de travailler avec Adrian. Je sais ce que c’est que de travailler avec Adrian. C’est un homme très, très gentil. Il est très humble compte tenu de sa réussite. Il est très ouvert d’esprit, et je pense que c’est ce qui le rend si bon. Je pense donc qu’il se débrouillera bien une fois qu’il aura rejoint Aston."
Williams F1
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