Vettel minimise les violentes critiques de la presse italienne
La popularité de Ferrari tend à l’exagération
Malmené par la presse suite à ses performances en retrait et ses erreurs en course, Sebastian Vettel a préféré minimiser les critiques à son égard, dans lesquelles on lit qu’il aurait perdu son talent, et au sujet de la Scuderia Ferrari, que les médias italiens décrivent comme étant en crise.
"Les premières critiques disaient que Vettel n’était pas si mauvais, je pense que les hauts et les bas vont continuer" s’amuse l’Allemand. "Ça prouve simplement à quel point l’équipe est populaire en Italie. Les mauvaises journées sont sanctionnées de violentes critiques mais c’est simplement dû à la popularité de l’équipe. Je n’ai rien contre Mercedes, mais je ne pense pas que tous les Allemands sont automatiquement fans du constructeur. En Italie, Ferrari est un mode de vie".
"C’est un fardeau quand tout va mal mais dans les bons jours, c’est un boost incroyable. Nous ne sommes évidemment pas heureux de nos performances jusqu’ici mais ça ne se change pas en une nuit. De nombreuses personnes lisent les journaux, mais le plus important est de bien gérer ces critiques en interne. Si elles sont justes, nous devons les assumer, mais nous ne les méritons pas toutes".