Réactions mitigées à l’approche du Grand Prix d’Azerbaïdjan
Hamilton moyennement convaincu
Cette semaine, la Formule 1 s’apprête à débarquer pour la première fois de son histoire en Azerbaïdjan pour traverser pied au plancher sa capitale, Bakou. Le tracé propose en effet une très longue ligne droite et une petite excursion dans les ruelles étroites de la vieille ville, et si certains pilotes semblent s’extasier à l’idée de découvrir le circuit, d’autres comme Lewis Hamilton paraissent pour l’instant moins convaincus.
« Bakou, un circuit urbain ? On peut qualifier Monaco de circuit urbain. La piste de Bakou est tellement large en certains endroits… je ne sais pas pourquoi ils dessinent des circuits comme ça. Mais j’espère en tout cas que ce sera palpitant ! »
De son côté, Sebastian Vettel a eu l’occasion d’essayer virtuellement le tracé dans le simulateur : « il me semble y avoir quelques parties intéressantes et d’autres plus simples. En tout cas, il fera plus chaud qu’au Canada ! »
Si Bakou « fait un peu penser à Valence » selon Daniil Kvyat, Felipe Massa estime que les moteurs les plus puissants tireront leur épingle du jeu puisqu’on s’attend à voir de très hautes vitesse de pointe, et que « c’est un peu comme Sotchi, mais avec une section très étroite. »
Et évidemment, Red Bull ne s’attend pas à être à la fête puisque l’écurie a calculé qu’elle perdrait « 1,2 seconde au tour sur la ligne droite principale ».