Même sans le FRIC, les Mercedes restent toujours aussi rapides
Elles sont, une nouvelle fois, les favorites
L’interdiction du FRIC, le système de suspensions interconnectées, a encore beaucoup fait parler hier dans le paddock d’Hockenheim, dans le cadre du Grand Prix d’Allemagne.
A l’issue des deux séances d’essais libres, l’écart entre les pilotes Mercedes et le reste du peloton semble moins important que lors des précédentes courses et certains pilotes, à commencer par Daniel Ricciardo, osent espérer que le bannissement de ce système permettra de réduire les écarts.
« On dirait que les écarts sont plus petits », a déclaré l’Australien à Marca.
Toutefois, Fernando Alonso préfère réduire les ardeurs de son rival de Red Bull : si le FRIC a aidé Mercedes, les monoplaces d’argent restent encore au dessus du lot. « [Même sans le FRIC] une Marussia ne sera pas en pôle, c’est sûr », lance l’Espagnol en souriant.
L’un des principaux concernés, Nico Rosberg, est rassuré par le rythme de sa monoplace sans ce système. « Il semble que nous soyons toujours rapides, ce qui est la chose la plus importante. »