McLaren : Boullier veut extraire le maximum de Bakou
Même si le potentiel n’est pas élevé
Eric Boullier, le patron de McLaren Honda, s’attend évidemment à un nouveau Grand Prix difficile ce week-end en Azerbaïdjan.
Même si Honda devrait apporter quelques améliorations à son V6, elle ne devrait pas suffire à endiguer les problèmes en ligne droite du moteur japonais, encore trop peu puissant.
"Après la frustration que nous avons éprouvée à Montréal, nous nous rendons à Bakou, qui est une autre ville fascinante, pour la 2e course dans l’histoire de cette ville et qui a été renommée le Grand Prix d’Azerbaïdjan (Europe en 2016 ; ndlr)."
"Au Canada, nous étions incapables d’exploiter le potentiel que nous avions montré durant le week-end, et nous anticipons la même chose à Bakou, nous ferons face à un défi similaire du fait des exigences impliquées par les caractéristiques d’un tel circuit, avec une si longue ligne droite."
"Néanmoins, même si nous sommes actuellement en pleine lutte face à nos difficultés, nous ne nous reposons pas sur ces lauriers, même s’ils ne se sont pas concrétisés en points à la fin de la course. En fait, c’est plutôt le contraire, la soif de victoire et la détermination de l’équipe sont plus fortes que jamais pour avancer dans la recherche de résultats plus positifs. Plutôt que de se concentrer sur le négatif, nous avons besoin de tourner notre attention sur les solutions et nous devons travailler ensemble, avec Honda, pour extraire le meilleur de notre situation."