Liberty Media et les promoteurs collaborent positivement
Le circuit de Bakou est ravi
Alors que les équipes semblent vouloir immédiatement croiser le fer avec Liberty Media, certains partenaires des nouveaux propriétaires de la Formule 1 se montrent satisfaits de leur ouverture d’esprit, à l’image du promoteur du Grand Prix d’Azerbaïdjan.
"Ce n’est pas tout noir ou tout blanc, mais quand il fallait gérer quelque chose ou décider quelque chose avec Bernie, il fallait aller le voir et régler le problème avec lui" explique Arif Rahimov. "Maintenant, les choses sont plus simples, et nous pouvons résoudre cela avec les niveaux inférieurs du management de la F1".
"Ce n’est pas un changement énorme, c’était globalement bien avant et c’est encore globalement bien maintenant. Cela fonctionne et nous pouvons avancer nos idées, ils nous écoutent et nous les écoutons. C’est une bonne collaboration".
Cette ouverture d’esprit, liée à une liberté plus importante que décrit Rahimov, permettra certainement de faciliter l’accès au calendrier à de nouveaux circuits et de créer des liens avec de nouveaux partenaires.
"C’est évidemment crucial de sortir du lot, surtout pour les nouvelles courses, car les gens savent quoi attendre des anciennes. Ils connaissent les circuits et les pilotes connaissent les circuits. Mais pour les nouvelles courses, ce sont des territoires inconnus, on peut voir ce à quoi on ne s’attend pas, mais c’est globalement plus compliqué de faire quelque chose de différent".
"Du bon côté des choses, Liberty nous permet de faire quelque chose de différent durant le week-end de course et cela dépendra des envies et de la créativité des promoteurs, qui permettront de nous assurer qu’il est possible de se démarquer. Il s’agit donc surtout de donner plus de liberté aux promoteurs afin d’improviser et d’amener des nouveautés".