La F1 doit s’attendre à souffrir de la crise
Ecclestone est optimiste mais...
La Formule 1 doit se préparer à d’éventuels problèmes économiques alors que le monde et l’Europe en particulier continuent à traverser une crise financière sans précédent, c’est en tout cas l’avis de Bernie Ecclestone.
La F1 a perdu plusieurs grands constructeurs en 2009 (BMW, Toyota et Honda) et pourrait en perdre davantage si la crise continue à s’aggraver. Le dernier exemple en date dans le sport automobile, de manière générale, est le retrait surprise de Peugeot de son programme d’Endurance la semaine dernière.
"Ils avaient de bonnes raisons de partir et d’économiser de l’argent. Ils n’ont pas eu la couverture médiatique voulue et pas assez de succès (aux 24 heures du Mans). C’est aussi simple que ça," déclare Ecclestone.
De quoi inquiéter le petit monde de la Formule 1 ? "Grâce à la longueur de nos contrats, nous sommes presque immunisés. Mais si la situation de la crise ne change pas globalement, on doit se préparer à des problèmes."