Hamilton admet avoir du mal avec sa Mercedes

Lewis Hamilton a admis qu’il avait du mal au volant de sa Mercedes depuis qu’il a rejoint l’équipe en début de saison. Le résultat s’est vu ce week-end à Monaco avec une domination des essais par son équipier, Nico Rosberg.

"Il n’y a pas qu’à Monaco, je souffre au volant depuis toute l’année. Étant donné que c’est une nouvelle voiture pour moi, je pense m’en être bien tiré mais plus cela avance dans la saison, plus je semble souffrir. A Monaco c’est flagrant parce qu’il faut avoir confiance dans la voiture pour tirer les derniers dixièmes."

Son plus gros problème ? "Les freins. J’ai toujours une incertitude sur ce qu’ils vont faire. Je pense avoir progressé avec eux et j’ai peut-être même réglé enfin ce problème pendant les qualifications. Nous verrons en course si c’est le cas..."

"En fait les essais hivernaux n’étaient pas trop mauvais et quand nous avons eu nos évolutions en Chine, la confiance est arrivée. Mais c’est la seule course où j’ai eu cette confiance. Je ne sais pas pourquoi."

L’écart est finalement faible sur la grille entre lui et son équipier. "Oui, un dixième mais je ne méritais la pole pour autant. Je n’ai pas été dans son rythme sur un tout. Par contre en course, ce sera chacun pour soi. Nous voulons le doublé mais je tenterai aussi de le doubler. Ce ne sera pas facile, surtout que nous avons un rythme similaire. Cela se jouera peut-être lors des arrêts aux stands. Je dois réussir à faire durer mes pneus."