Grosjean : Ce sera difficile en Italie pour la Lotus E22
Mais c’est un si beau pays....
Romain Grosjean adore l’Italie, mais il sait que ce sera difficile pour lui et sa Lotus la semaine prochaine sur le circuit de Monza.
“J’aime beaucoup le circuit de Monza, car il est très différent,” déclare Romain Grosjean. “C’est un circuit génial qui a une grande histoire. C’est donc très agréable pour nous les pilotes de rouler dans un endroit qui a été fréquenté par nos héros. Il y a aussi une très bonne ambiance partout sur le circuit et dans le parc.”
“J’ai disputé l’une de mes premières courses de ma carrière à Monza en 2003 dans une catégorie qui s’appelait Formula Lista. J’avais gagné et j’avais d’ailleurs gagné toutes les courses de cette année-là dans cette catégorie. J’ai eu d’autres bons résultats à Monza durant ma carrière et cela me rappelle de bons souvenirs,” poursuit Grosjean.
Quel sera l’objectif de Romain Grosjean la semaine prochaine à Monza ? “Je pense que ce sera difficile pour nous. Sur le papier, ce n’est pas une course qui devrait nous convenir, mais comme toujours, nous allons faire de notre mieux pour tirer le maximum de ce week-end. Cela devrait mieux se passer pour nous à Singapour.”
La Lotus E22 roulera avec très peu d’appuis aérodynamiques à Monza. Sera-t-elle difficile à piloter ? “Oui, mais ce sera la même chose pour tout le monde. Ce sera d’autant plus difficile que nous n’aurons pas le diffuseur soufflé comme l’année passé. En réalité, nous allons devoir rouler avec le minimum d’appuis aérodynamiques afin de minimiser la perte de temps en ligne droite. Nous devons toutefois rester positifs et essayer de tirer le meilleur de notre package,” ajoute le pilote français.
Pizza ou pâtes ? “Je connais une très bonne pizzeria près du circuit et ce sont donc les pizzas que je préfère. Mais je dois faire attention, car je pourrais prendre du poids très rapidement. L’Italie est un endroit magique, notamment la culture de ce pays. Comme d’autres pilotes, j’ai disputé de nombreuses courses en Italie, et ce, depuis que je fais du karting. Je connais donc très bien ce pays. Je n’ai jamais rencontré quelqu’un qui n’aime pas l’Italie,” conclut Romain Grosjean.