Ferrari s’oppose aux moteurs low-cost
Pas question de les fournir à un prix trop bas
En tant que constructeur historique et à part, Ferrari a un droit de véto en Formule 1 et a fait savoir son intention de l’utiliser pour bloquer la possibilité de vendre des moteurs hybrides à bas prix.
Il y a quelques semaines la FIA voulait fixer une limite à 12 millions d’euros pour la fourniture d’un moteur en cours et 8 millions pour un moteur de l’année précédente, qui pourront être utilisés à partir de 2016.
Toto Wolff avait indiqué qu’il faudrait bien faire les comptes avant de pouvoir y arriver mais Maurizio Arrivabene a fait savoir lors de la réunion des motoristes à Genève que c’était hors de question.
"Nous ne pouvons pas demander moins que ce qu’ils nous coûtent," dit-il.
Les moteurs actuels sont facturés entre 18 et 20 millions d’euros aux équipes clientes.