Ericsson : Je n’ai jamais été favorisé par Sauber
Le Suédois dément
Tout comme Pascal Wehrlein, Marcus Ericsson a reconnu qu’il n’était pas du tout au courant de ce qui se passait au sein du management de Sauber et du départ confirmé de sa patronne, Monisha Kaltenborn, avec effet immédiat.
A Bakou, le Suédois a aussi dû se défendre de tout favoritisme.
"Cela a été très soudain, tout s’est passé en 48 heures," explique Ericsson.
"Nous devons croire ce que font les propriétaires et qu’ils savent ce qu’ils font. Ils ont un bon plan pour l’avenir."
"Me concernant, j’ai lu les rumeurs à mon sujet et sur le favoritisme supposé... c’est totalement faux, et infondé. C’est un vrai manque de respect envers chaque membre de l’équipe. Les gars travaillent jour et nuit, ici et à l’usine, pour que les deux voitures soient compétitives, les deux pilotes."
"Pour moi et Pascal, il est très clair que ce sont des conneries. Nous avons eu le même équipement, les mêmes priorités. Cela a toujours été comme ça chez Sauber."