Ce que préfère Hulkenberg ? Rendre la vie dure aux médias !
L’Allemand évoque sa vie de pilote de F1
Nico Hulkenberg s’est livré au jeu des questions / réponses sur le rôle d’un pilote de Formule 1 au sein de son équipe.
Le pilote Renault F1 commence par une blague !
"Mon département (celui des pilotes) se compose de deux personnes. Nous avons la charge de mener la voiture à l’arrivée, de marquer des points pour l’équipe et de développer la monoplace du mieux que nous pouvons," lance-t-il.
Il reprend son sérieux au moment d’évoquer une journée type de travail.
"Lors d’un week-end de course, le vendredi par exemple, je me lève, je vais au circuit et je prends un petit-déjeuner avant le premier rendez-vous. Après, je me prépare pour les EL1, où je passe environ une heure au volant avant un débriefing et un déjeuner. Après le repas, j’ai toujours une sieste d’une demi-heure pour recharger les batteries. Je retrouve mon baquet pour les EL2, eux aussi suivis d’un débriefing. Il y a un peu d’activités avec les médias et le briefing des pilotes par la suite. J’aime bien pouvoir effectuer une partie de ma récupération dans ma chambre au sein de l’hospitalité. Cela peut être un massage ou quelque chose du genre avant de se rendre à un nouveau meeting. Comme vous pouvez l’imaginer, nous avons beaucoup de réunions. Ce n’est pas le plus excitant, mais cela reste néanmoins important. Viennent ensuite l’heure du dîner et la fin de la journée."
Et comment a-t-il décroché ce "job en or" ?
"Tout a commencé en karting à l’âge de dix ans. J’ai remporté quelques championnats. Je suis alors passé en monoplace et j’ai gagné le titre dès ma première année. Après cela, j’ai gravi les échelons dans les formules de promotion, obtenu quelques couronnes supplémentaires, y compris en GP2, la dernière marche avant la F1. En 2010, j’y ai débuté ma carrière chez Williams. J’ai continué de progresser, d’apprendre et de m’améliorer avant de rejoindre Renault avant la saison 2017. C’est un parcours très agréable jusqu’ici."
Le pire aspect de son travail ? "Toutes les sollicitations médiatiques, je pense. Mais le meilleur c’est de rendre la vie dure aux médias !"
Comment relâche-t-il la pression ?
"Des choses basiques, comme me détendre dans mon lit… Et un peu de Netflix et de room-service. Ou encore des trucs classiques, comme des rendez-vous avec des amis."
Alpine F1 Team - Renault
Gasly est ’heureux’ d’une troisième place ’incroyable’ à Las Vegas
Alpine F1 peut-elle frapper encore très fort à Las Vegas ?
Alpine F1 doit encore travailler ses longs relais à Las Vegas
En 2026, sans l’excuse du V6 Renault, Enstone devra ‘se regarder dans le miroir’
+ sur Alpine F1 Team - Renault