Alonso parle de sa vie sur les réseaux sociaux
Il adore Twitter !
Fernando Alonso a participé à un évènement promotionnel pour Kaspersky, sponsor de la Scuderia Ferrari. Avant d’aller au Brésil, pour le dernier Grand Prix de la saison, le pilote espagnol a fait un détour par New York pour rencontrer Eugene Kaspersky - fondateur du groupe qui porte son nom, et lancer la campagne menée par Kaspersky Lab avec le soutien du pilote Ferrari appelée "Safeguarding Me".
« La technologie est d’une grande aide dans la communication avec nos fans et rester en contact avec eux, aussi bien dans les bons comme les mauvais moments », déclare Alonso. « C’est aussi une forme de divertissement : je me trouve souvent seul dans un aéroport ou à un bar avec du temps devant moi et dans ces moments-là, c’est amusant de pouvoir discuter avec des amis ou envoyer quelques photos. Nous sommes maintenant toujours connectés et donc nous avons toujours besoin d’être protégés dans cette vie digitale, parce qu’à ces moments nous sommes ouverts à tout le monde. »
L’occasion pour lui de revenir sur sa récente venue sur Twitter (retrouvez son compte ici). Arrivé sur le réseau social fin mars, l’Espagnol s’est très vite pris d’affection pour l’outil et y passe de plus en plus de temps.
« J’ai choisi de m’inscrire sur Twitter parce que je peux gérer mon relationnel avec mes fans tout seul », explique-t-il. « J’aime vraiment envoyer des photos et d’habitude, j’arrive mieux à m’exprimer avec une photo que les 140 caractères proposés : c’est pour cela que j’apprécie beaucoup Instagram aussi. On m’a demandé si j’avais déjà eu l’envie de twitter depuis ma monoplace. Et bien ce serait un peu difficile, parce qu’il n’y a pas beaucoup de place dans le cockpit, même si c’est vrai qu’il y aurait beaucoup de choses intéressantes à raconter aux fans sur les longs moments passés en piste lors d’un week-end de course, cependant ce n’est pas possible. Et il y a un service de presse qui me surveille constamment ! »
« J’ai aussi une page Facebook qui se révèle très utile pour retrouver des gens avec qui j’avais perdu le contact au fil des années. Merci à cet outil, par exemple il y a quelques mois je me suis retrouvé en train de dîner avec un grand nombre d’amis connus lors de ma scolarité dont j’aurais peut-être perdu le contact avec les années. J’ai été avec des gens qui ont la même vie "normale" que j’aurais probablement eue si je n’étais pas devenu pilote automobile », ajoute le double champion du monde.
« Je me souviens aussi, quand j’étais un jeune qui débutait en monoplace, mon père m’a souvent dit d’aussi envisager un avenir après la course. Par exemple, il m’a dit qu’il avait un ami qui faisait des ascenseurs et qui pourrait peut-être m’avoir du travail : qui sait, peut-être que j’aurais pu faire ça pour gagner ma vie plutôt que de piloter une Ferrari en F1. C’est important pour moi d’avoir une famille qui m’a toujours fait garder les pieds sur terre et qui m’a fait comprendre ce qui est important dans la vie. »