Horner : Le véto de Ferrari était une protection pour les équipes

Comme l’expliquait Jean Todt, Ferrari a pu garder son droit de véto historique (qui date des années 80) lors de la signature des Accords Concorde en 2013.

Le président de la FIA affirme que ce droit n’a pas été contesté par les autres équipes à l’époque, ce que confirme Christian Horner.

Le patron de Red Bull voit ce véto de Ferrari comme une protection pour les équipes mais... c’est évidemment à double tranchant.

"A l’époque où le véto de Ferrari a été confirmé à nouveau, ça a été perçu probablement comme une sécurité pour les équipes. Cela pouvait protéger de certaines décisions prises par les instances dirigeantes."

"Ferrari a toutefois une autre position maintenant qu’à l’époque et donc le véto peut aussi fonctionner dans l’autre direction."

Ferrari s’est opposée à un prix maximum pour la fourniture des moteurs V6 actuels. La FIA prévoit de contourner cela par un appel d’offres pour un nouveau moteur client indépendant au cas où les négociations n’aboutissent pas.