Lopez : PDVSA et Maldonado restent chez nous
L’incident est clos
Le ministre vénézuélien des sports, Antonio Alvarez, a jeté un pavé dans la mare il y a quelques jours en affirmant que son pays n’investirait plus le moindre dollar dans le sport automobile.
Voilà une déclaration qui n’est pas passée inaperçue chez Lotus puisque l’on sait que Pastor Maldonado doit son volant au sein de cette équipe grâce à l’argent du géant pétrolier vénézuélien PDVSA.
Pastor Maldonado a déclaré à Monaco qu’il y avait eu une incompréhension, car ces commentaires avaient été faits par le ministre des sports et non par la compagnie elle-même.
Madonado ne doit toutefois pas ignorer qu’un membre du gouvernement dispose de moyens de pression sur une société, d’autant plus lorsque celle-ci appartient à l’état…
Chez Lotus, on minimise aussi l’incident. “PDVSA et Maldonado restent avec nous, au Venezuela, c’est la société qui a le dernier mot, pas le gouvernement,” affirme Gérard Lopez, patron de l’équipe Lotus, dans les colonnes du Blick.